Alors qu’on a parfois l’impression que la planification du territoire québécois repose beaucoup sur les forces du marché, les décisions politiques, la volonté d’une poignée de personnes influentes ou les aléas des financements gouvernementaux, il apparaît clairement qu’une place de plus en plus grande est occupée par de nouvelles catégories d’acteurs. Celles-ci sont composées notamment des professionnel.les de l’aménagement, de l’urbanisme, du design participatif, de l’économie sociale et solidaire, et à plus forte raison des personnes qui se mobilisent pour participer à l’aménagement et la planification de leur milieu de vie, ou qui critiquent les décisions qui leur sont imposées