Par Alexandra Nadeau
Dans les villes, un nombre croissant de citoyens met en place de manière indépendante des initiatives pour faire face aux changements climatiques, tels que des projets de verdissement, d’agriculture urbaine ou d’énergies alternatives. À partir de l’étude de cas du quartier Rosemont-La Petite-Patrie à Montréal, cette recherche montre que les initiatives locales reflètent le pouvoir grandissant des modes d’action collectifs informels. Par le biais des actions locales «vertes», les citoyens produisent des retombées directes, concrètes, simples et axées sur leur bénéfice personnel.