Mon plan de carrière initial, lorsque j’avais 16 ans, était de devenir ingénieur forestier! Puis, je me suis rendu compte que j’aimais les questions forestières, mais à travers le prisme des sciences sociales : la forêt comme un milieu de vie. J’ai donc effectué des études en sciences politiques et pour mon mémoire de maîtrise, j’ai choisi de m’intéresser à la gouvernance de la forêt publique québécoise. Sans grand lien avec ce mémoire, j’ai finalement obtenu un emploi chez Vélo Québec, ce qui rejoint mes intérêts personnels pour le vélo et la mobilité. Je suis en poste au sein d’un programme qui s’appelle le mouvement Vélosympathique, qui collabore avec les municipalités, les entreprises et les campus souhaitant favoriser la mobilité active. Ce poste m’a également amené à contribuer à toutes les questions en lien avec la représentation publique en faveur de la mobilité durable dans une perspective de mobilité active. Actuellement, je travaille surtout sur les questions techniques en matière d’aménagement et du prolongement de la Route verte, qui est le réseau cyclable national du Québec de 5 300 kilomètres.