Avec une équipe de chercheur.es issu.es de différentes disciplines (sociologie, études urbaines, criminologie), de cinq étudiant.es à la maîtrise et au doctorat et de trois acteurs.trices des milieux de pratique à Montréal et Québec, nous avons donc répondu à cet appel du gouvernement. On voulait mieux comprendre les enjeux entourant les tensions sociales liées au phénomène de l’itinérance et proposer des pistes d’action face aux problèmes relevés.